LES RESSOURCES HUMAINES
Aujourd’hui, les ressources humaines ne représentent que 20% de notre budget total. Or, celles-ci devraient au moins s’élever à 50%, si ce n’est plus.
Nous ne pouvons à ce jour rémunérer que 13% des personnes travaillant sur la Kimpavita. Tout le reste de l’équipe est bénévole.
LA COMMUNICATION
La communication représente moins de 10% du budget de la Kimpavita, ce qui est extrêmement faible. Nous ne pouvons pas allouer davantage de budget à ce secteur, or il s’agit d’un domaine crucial pour la réussite de nos activités. Afin de toucher le plus de personnes possibles et faire grandir notre initiative, nous avons besoin d’engager davantage de personnel, de multiplier les canaux de communication et d’employer des personnes sur le terrain pour sensibiliser les populations.
LA PROGRAMMATION
A ce jour, il s’agit du pôle de dépenses le plus important, car sans programmation, pas d’événements possibles. La plupart de notre budget se concentre sur de la rémunération des intervenants, intervenantes, artistes et la mise en place de nos activités et ce, au détriment des ressources humaines et de la communication.
Même avec 30% de notre budget alloué à ce poste, nous ne pouvons toujours pas rémunérer à leur juste valeur l’ensemble des artistes, activistes, danseur et danseuses qui interviennent sur nos événements.
Par ailleurs, afin d’enrichir notre programmation et donner à notre initiative une dimension panafricaine, nous devons inviter davantage de personnes des pays à l’honneur, notamment des artistes et activistes femmes.